Les humains ont posé l’arrondi de leur pantalon sur un banc.
Ils devisent en bonne entente. Les enfants font des châteaux de sable.
En un instant, il est debout. Il s’avance au milieu de la place de jeux.
Les yeux unanimes se lèvent sur lui. Il ne regarde personne pourtant
chacun se sent appelé.
Il déploie sa cape faite de légèreté. L’étend de part et d’autre de son
corps en un geste généreux. Et s’envole.